Z8 E52 Roadster (1999) - Voiture de série - Fonds d'écran - BMWorld.fr - Le monde des BMW

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Fond d'écran Z8 E52 Roadster (1999)

Z8 E52 Roadster (1999)
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Z8 E52 Roadster (1999)


"Si je dessinais aujourd'hui la 507, elle aurait l'allure de la Z8." Voilà la déclaration d'un homme qui est sensé savoir de quoi il parle, et en même temps un compliment à l'adresse de l'équipe des stylistes BMW réunie autour de Christopher Bangle. Ce n'est autre que le comte Albrecht Graf von Goertz qui s'extasie de la sorte, le styliste même qui a dessiné les lignes exaltantes de la BMW 507.

En 1955 à New York, lorsque le comte Goertz dévoila pour la première fois sa création - une voiture de sport décapotable du nom de BMW 507 - il fit plus que simplement présenter une nouvelle voiture. En effet, il fixa une nouvelle référence en matière de style. Quoi d'étonnant donc que les riches et les esthètes se sont tous rués sur l'automobile de Munich - à une époque où BMW faisait surtout parler d'elle par ses motos et ses petites voitures.

252 BMW 507 très exactement ont quitté l'usine - toutes des voitures de rêve. Car le concept d'implanter un moteur V8 de 3,2 litres débitant quand même 150 ch dans une carrosserie légère en aluminium était aussi excitant que prometteur. En effet, il n'y avait au milieu des années cinquante que quelques routières capables de filer à 200 km/h - et de rejoindre ainsi la BMW 507. Le nombre des voitures de sport exerçant une fascination comparable pour les adeptes de la conduite cheveux au vent était à l'époque très réduit. Sans parler de la belle musique émanant de son moteur.

L'idée d'une classique revit

Cette idée revit aujourd'hui chez BMW - la nouvelle voiture de sport Z8 est une interprétation moderne du thème de la 507 : belle à couper le souffle, classique dans ses proportions, elle présente le summum de la technique, tout ce qu'il est possible de réaliser aujourd'hui dans la construction automobile. Cette biplace décapotable, une voiture de rêve au-dessus de toute mode et goût du jour éphémères, répond ainsi à une grande ambition. Elle incarne l'automobile d'exception pour les épicuriens, née de l'enthousiasme passionné de stylistes et d'ingénieurs qui s'investissent corps et âme.

Le capot moteur quasi interminable de la Z8, ses roues aux dimensions généreuses et les ouïes latérales dans la carrosserie rappellent sa célèbre devancière. Cet hommage sous les traits de la Z8 affiche également une "ligne idéale" - 4,40 mètres de long, 1,83 mètre de large et 1,31 mètre de haut seulement.

La nouvelle voiture de sport BMW sut déjà déchaîner l'enthousiasme des visiteurs des Salons automobiles de Tokyo en 1997 et de Detroit en 1998 ; à l'époque déjà son allure trahissait l'?uvre de spécialistes auxquels on avait donné carte blanche pour dessiner une automobile de race pure suscitant des émotions fortes.

La Z8 possède tous les "ingrédients" du roadster classique

Résultat : une voiture de sport classique au charme envoûtant : souple et musclée à la fois, mais pourtant aristocratique et absolument unique. Sa ligne de base est inspirée d'éléments classiques du roadster qui s'expriment à travers une partie avant longue, des porte-à-faux réduits et un cockpit moulant, mais pourtant luxueux. Les lignes fluides et tout en galbe des passages de roue s'étendent sur les bandeaux des larges portières jusqu'à la poupe trapue, dynamique : les ouïes aménagées entre le passage de roue avant et la portière sont dans la meilleure tradition du roadster BMW.

Le "visage" de la Z8 est sans aucune équivoque celui d'une BMW : les naseaux larges et les petits phares ronds au xénon abrités derrière du verre - garants d'un faisceau lumineux et producteur d'un signal optique efficace - soulignent des traits traditionnels de la marque. Mais la Z8 mise aussi sur les innovations, telles que la technologie de la lumière au néon adoptée pour les clignotants, les feux arrière et les feux stop. En lançant ce nouveau type de signalisation - qui présente le triple avantage d'une réponse rapide, d'une liberté plus grande laissée aux stylistes et d'une durée de vie sensiblement plus longue - on prouve une fois de plus que BMW est à la pointe du progrès technologique.

La poupe avec la ligne de carrosserie légèrement plongeante, le diffuseur et deux sorties d'échappement en acier bruni, n'est pas moins impressionnante. Le capot arrière s'ouvre soit par la télécommande intégrée aux clés de la voiture, soit par une touche encastrée dans le montant avant. Le coffre suffit pour loger les bagages pour un petit voyage à deux : une valise à coque rigide de taille moyenne ou deux sacs de golf y tiennent sans problème.

Si, par exemple en hiver, le conducteur préfère un "toit rigide" à la capote pliante à commande semi-automatique et mécanisme de fermeture assistée fort pratique, il peut aussi installer le hard top de série avec sa lunette arrière chauffante, qui modifie l'allure de la voiture en lui conférant des airs de coupé.

Une carrosserie très rigide grâce au cadre treillis en aluminium

Innovatrice, la nouvelle structure de carrosserie de la Z8 est tout aussi exaltante que ses lignes extérieures visibles. Il s'agit d'un cadre treillis autoporteur en aluminium, appelé aussi space frame. La structure racée de la Z8 est bâtie un peu comme une maison à colombages : des tôles structurelles hautement résistantes en aluminium - matériau léger et résistant à la corrosion - garnissent les vides entre les profilés extrudés largement dimensionnés, qui font office de "charpente" solide. Elle est revêtue d'une peau extérieure racée, dont chaque élément peut être vissé.

Grâce à ce concept, BMW a réalisé une architecture qui, pour un poids optimal, obtient les meilleurs résultats en matière de rigidité de la carrosserie face aux voitures de sport décapotables concurrentes. Le conducteur en profite par un excellent "toucher" de la route et par l'absence des vibrations de petite amplitude typiques des voitures décapotables.

Cette technologie de l'aluminium offre, de plus, au propriétaire d'une Z8 une carrosserie qui ne perdra rien de sa valeur pendant longtemps, car ce matériau sophistiqué ne peut pas rouiller. Les habillages des bas de caisse et les pare-chocs avant et arrière sont en polyuréthane résistant aux chocs ; ils abritent l'antenne pour la radio, le système de navigation et le téléphone et se régénèrent entièrement après tout accrochage intervenant jusqu'à une vitesse de 4 km/h.

Un coup d'?il jeté sous le capot moteur de la BMW Z8 confirme ce à quoi l'observateur placé à l'extérieur s'attendait (ou ce qu'il entendait déjà) : un punch formidable. C'est en effet un V8 sport de hautes performances d'une cylindrée de cinq litres qui tourne sous le capot. Fascinante aussi par sa sonorité, cette mécanique - destinée dès le début à deux formules automobiles différentes, à savoir la M5 et la Z8 - dispose d'une cavalerie de pas moins de 400 ch (294 kW) à 6600 tr/mn et débite un couple maximal imposant de 500 Nm à 3800 tr/mn.

Une performance impressionnante puisée dans une cylindrée de cinq litres

Le calage variable des arbres à cames (VANOS double) connu chez BMW grâce aux modèles M, ainsi qu'un système d'admission doté de papillons pilotés par la gestion électronique procurent un couple moteur élevé dès les régimes inférieurs et moyens et assurent, de plus, une réaction spontanée à l'accélérateur tout en veillant à une combustion optimale et à des émissions réduites. Parmi les autres solutions high-tech de ce moteur hors du commun, il faut compter une alimentation en huile régulée par la force centrifuge, le refroidissement à flux transversal et un échangeur thermique huile/eau. Quant à la gestion moteur, il s'agit d'un développement BMW capable de traiter plus d'un million d'instructions par seconde - se hissant ainsi à une dimension technique comme on n'en trouve qu'en Formule 1.

Pour que la motricité soit parfaite dans toutes les situations de conduite, cette mécanique imposante est placée loin en arrière de l'essieu avant (moteur central avant) contribuant ainsi à obtenir une répartition optimale des charges sur essieux, à raison de 50% à l'avant et 50% à l'arrière. Associé au système antipatinage DSC III (système de contrôle dynamique de la stabilité) d'une mise au point sport et enrichi du régulateur du couple résistant, cette configuration permet de transmettre l'énorme puissance des 400 ch aussi efficacement que sûrement à la route.
Le conducteur de la Z8 pourra doser avec précision la force pure débitée par le puissant V8 : grâce à une boîte mécanique à six rapports renforcée et précise dotée d'un levier à courses courtes, et à un embrayage monodisque à sec à rattrapage automatique doté d'une pédale à course réduite dont l'effort d'actionnement restera constant pendant toute la durée de vie de la voiture.
La propulsion imprimée aux roues arrière via les arbres de sortie et de transmission au poids et à la ré-sistance optimisés, sera tout simplement vertigineuse.

Si les vitesses sont passées de manière optimale, la BMW Z8, qui affiche
un poids de 1660 kilogrammes selon la norme européenne, passera en 4,7 secondes seulement de l'arrêt à 100 km/h, elle aura parcouru un kilomètre après 23,4 secondes et ne mettra que 4,3 se-condes pour accélérer de 80 à 120 km/h en quatrième. Cette envie constante de pousser ne sera bridée qu'à 250 km/h, vitesse à laquelle la gestion électronique interviendra en douceur.

De l'aluminium aussi pour le train de roulement

Transformer la puissance en plaisir au volant n'est possible et admissible que grâce au train de roulement moderne dont bénéficie la BMW Z8. Il est constitué d'un essieu avant tout aluminium du type à jambes de suspension avec triangle oblique inférieur et barre de traction, d'une direction à crémaillère et d'un essieu arrière dit intégral 4. Grâce à leur poids réduit, les roues de 18 pouces en aluminium à cinq branches doubles (8 pouces de large à l'avant et 9 à l'arrière) maintiennent les masses non suspendues à un faible niveau.

Le contact sûr avec la route est assuré par des pneus de conception spéciale dits Run-Flat (roulage à plat) de dimensions 245/45 R 18 96 W à l'avant et 275/40 R 18 99 W à l'arrière. Ces pneus ont la propriété de fonctionner aussi à plat, si bien que le conducteur d'une Z8 peut con-tinuer sa route sur environ 500 kilomètres à une vitesse maxi. de 80 km/h même après une crevaison. La roue de secours devient ainsi superflue.

Pneus de sécurité en série sur la Z8

Ces nouvelles roues abritent des disques de frein hautes performances
qui, ventilés à l'avant comme à l'arrière, assurent une décélération impressionnante. Dans des conditions optimales, il ne faut ainsi que 2,5 secondes ou environ 35 mètres pour qu'une Z8 évoluant à 100 km/h s'arrête. Il va sans dire que le système de freinage est complété en série, comme sur toutes les automobiles BMW, d'un antiblocage ainsi que du CBC (Cornering Brake Control - système de contrôle du freinage en virage) qui garantit même en virage une décélération en toute sécurité.

La Z8 est équipée d'une direction assistée à crémaillère sportive et directe, qui répond avec une grande précision à toute consigne du conducteur lorsqu'il désire changer de direction.

BMW a prêté une grande attention également à la sécurité de la Z8. Ainsi, cette voiture offre à ses deux occupants non seulement la sécurité anticollision élevée de sa carrosserie en aluminium, mais aussi la protection de son système airbag. Le conducteur est protégé par un coussin gonflable latéral intégré à la porte et par un airbag US intégré au volant original à trois branches gainé cuir - ce dernier est activé par un générateur de gaz à deux phases, en fonction de l'intensité de l'impact.

Le passager est mis à l'abri par un airbag frontal logé dans le tableau de bord et un airbag latéral logé dans la porte. La BMW Z8 est de plus munie en série d'un système antiretournement de sécurité habillé de cuir et d'un cadre de pare-brise renforcé.

A bord de la Z8, le conducteur et son passager roulent non seulement en toute sécurité, mais aussi dans le confort et l'exclusivité. Ils voyageront dans un univers vraiment raffiné de cuir prestigieux, ils se sentiront à l'aise dans un intérieur associant surfaces vernies et surfaces habillées de cuir, où touches de commande et autres leviers sont en aluminium.

Six couleurs de carrosserie et quatre coloris pour l'intérieur sont proposés ; l'ambiance particulière régnant à bord de la Z8 peut donc être aménagée de manière fort individuelle. De nombreux éléments concourent au plaisir de conduire proverbial : ainsi, des sièges sport à réglage électrique et chauffage intégré accordent un maintien optimal au conducteur et à son passager ; les appuie-tête réglables et les ceintures à prétensionneurs automatiques et limiteurs d'effort leur offrent une sécurité maximale ; le conducteur peut amener la colonne de direction dans la position optimale grâce à un réglage électrique dans l'axe longitudinal. Les vitres latérales s'escamotent et se referment par voie électrique, et un climatiseur de série se charge d'assurer une température agréable.

Le point de mire : des instruments en position centrale

Une fois les rétroviseurs extérieurs dégivrants et chromés ajustés grâce au réglage électrique, puis le blocage antidémarrage désactivé par la clé de la voiture, le conducteur peut lancer le V8 hautes performances en appuyant le pied sur la pédale d'embrayage et le doigt sur le bouton de démarreur séparé. L'antivol sur direction est séparé du bouton de démarrage et se désactive lorsque la clé de contact est tournée dans sa serrure.
Les instruments placés en position centrale renseignent avec précision et rapidité sur les fonctions primaires que sont la vitesse, le régime moteur, le niveau de carburant et la température de l'eau de refroidissement. D'autres indicateurs du combiné d'instruments informent sur l'heure et les kilomètres parcourus. L'agencement choisi assure une vue dégagée vers l'avant, sur la route.

La radio dite multi-informations (MIR) est une particularité de la BMW Z8 :
le conducteur d'une voiture de sport puissante désirant se concentrer entièrement sur la conduite et non pas sur la recherche d'un itinéraire, les ingénieurs d'étude de la Z8 ont imaginé un système regroupant dans une seule unité de commande sur la console centrale les fonctions de la radio - un système HiFi de pointe avec chargeur pour six CD, amplificateur 250 watts et dix haut-parleurs - du système de navigation satellitaire (GPS) et du téléphone cellulaire.

La dotation de série comprend de plus un système d'alarme avec radiotélécommande, le verrouillage central, le régulateur de vitesse et - fort pratiques pendant la saison froide - des essuie-glaces à zones de repos dégivrantes.

En somme, la BMW Z8 - c'est le nec plus ultra de la conduite active, un bolide dont la seule raison d'être n'est pas de transporter hommes et bagages. Sur la Z8, ce qui compte, c'est d'abord le plaisir de conduire, surtout cheveux au vent sous un ciel radieux. D'une conception inédite, elle entre dans la division des supersportives. Cette automobile construite en une petite série exclusive chez BMW à Dingolfing et à Munich est un bijou riche en carats pour de vrais connaisseurs. Elle transformera en réalité les rêves secrets des passionnés de l'automobile.