Série 5 F10 Berline (2010) - Voiture de série - Fonds d'écran - BMWorld.fr - Le monde des BMW

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Fond d'écran Série 5 F10 Berline (2010)

Série 5 F10 Berline (2010)
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Série 5 F10 Berline (2010)



Des proportions dynamiques en équilibre parfait.

Le design de la nouvelle BMW Série 5 Berline reflète tous les traits de caractère qui confèrent leur attrait à une quatre portes appartenant au haut de la gamme moyenne et qui rendent une BMW de ce segment reconnaissable entre mille. Sa prestance pleine de charisme et son élégance aux formes racées traduisent bien la qualité raffinée et intransigeante et le grand agrément de conduite distinguant cette berline. Les qualités routières sportives sont visualisées avec autant d’authenticité par sa ligne dynamique et son allure d’ensemble athlétique. La nouvelle BMW Série 5 Berline se met en scène par des formes taillées à sa mesure et signale en même temps son aptitude à véhiculer le plaisir de conduire typique de la marque.
Les proportions dynamiques de la nouvelle BMW Série 5 Berline sont dé-terminées selon le style typique de la marque par le long capot moteur, les porte-à-faux réduits, le long empattement et la ligne de toit fluide typée coupé. La forme légèrement conique souligne de naturel sportif et fonceur de la berline. La nouvelle interprétation particulièrement stricte du «pli Hofmeister», retour vers l’avant caractéristique de la ligne à l’embase du montant arrière typique de toute BMW, souligne le dynamisme de la voiture vue de profil. Sa silhouette semble parfaitement équilibrée et visualise ainsi la répartition des masses quasiment idéale entre l’essieu avant et l’essieu arrière dont se targuent toutes les motorisations. La nouvelle BMW Série 5 possède un empattement de 2 968 millimètres, soit le plus long de son segment. De plus, les formes sculpturales typiques de BMW créent des transitions fluides entre les parties avant, latérales et arrière, si bien que toute la carrosserie semble être créée d’un seul jet.
Grâce aux galbes précis de la carrosserie, la voiture dégage d’emblée une impression d’ensemble souveraine et sereine. L’observateur doit s’approcher et changer de perspective pour percevoir le subtil jeu d’ombre et de lumière révélant le traité tridimensionnel des surfaces au modelé tantôt concave tantôt convexe. Des détails travaillés avec soin, comme les éléments design couleur chrome intégrant les répétiteurs latéraux des clignotants ainsi que les ouvrants de porte incorporés dans le coup de gouge parcourant les flancs de la voiture, corroborent l’ambition de grand prestige de la BMW Série 5 Berline grâce à leur traité précis.

Allure envoûtante : regard concentré et envie de foncer.

De par les traits de style typiques de la marque, mais interprétés sous une forme nouvelle, la partie avant expressive de la nouvelle BMW Série 5 Berline met parfaitement bien en valeur le caractère sportif et représentatif de ce modèle. Les naseaux qui se dressent sensiblement à la verticale et semblent même être légèrement inclinés vers l’avant vus sous certains angles, symbo-lisent l’envie de foncer de la berline et de concert avec les passages de roues puissamment bombés, ils confèrent une prestance charismatique à la partie avant de la voiture. Quatre lignes en relief convergeant vers les naseaux struc-turent le capot moteur. Les deux lignes centrales se rencontrent au-dessus des naseaux où elles embrassent le logo BMW. La large prise d’air avec l
es antibrouillards ronds déportés vers l’extérieur se distingue par une note particulièrement sportive résultant d’une subdivision optique en trois parties. Dans ses tiers extérieurs, elle est divisée par deux lames horizontales. Celles-ci s’étendent vers l’intérieur jusqu’à hauteur des naseaux, si bien que la zone centrale de la prise d’air forme une surface unique. Soulignées par les contours de la prise d’air légèrement ascendants vers l’extérieur, elles soulignent la largeur du bloc avant et dirigent le regard vers les passages de roue.
Les ensembles optiques qui se prolongent loin sur les flancs de la voiture contribuent également à l’effet de largeur. De chaque côté, deux phares de forme cylindrique servent de sources de lumière. Les phares ronds doubles sont biaisés dans leur partie supérieure par un cache contrastant et évoquent ainsi un visage au regard concentré, caractéristique des automobiles BMW. Lorsque la voiture est équipée des phares au xénon optionnels, l’éclairage diurne est matérialisé par les anneaux lumineux à leds au look absolument caractéristique ; les clignotants repoussés dans les coins extérieurs des ensembles optiques se composent de dix leds chacun. S’y ajoute une bande lumineuse contrastante alimentée par des leds sur le bord supérieur des deux ensembles optiques.

Vue de profil : équilibre typiquement BMW entre élégance et sportivité.

Dans son comportement routier, la nouvelle BMW Série 5 marie une agilité souveraine avec des qualités de confort sublimes. Le design de la berline exprime, lui aussi, cet équilibre en se montrant à la fois sportif et élégant. Ceci est particulièrement visible en vue de profil. Associée à la ligne de toit fluide typée coupé et à la surface vitrée allongée, la surface scapulaire légèrement évasée au-dessus du coup de gouge marquant, parcourant les flancs de la voiture à hauteur des ouvrants de porte, confère un air léger et élancé à la partie vitrée de l’habitacle et ce, malgré ses dimensions importantes. Sur la partie inférieure du corps de carrosserie, des surfaces au modelé concave créent des effets d’ombre et de lumière animés renforçant le caractère sportif de la berline. Le bombement prononcé de la surface disposée au niveau du passage de roue arrière signale la propulsion.
Le dynamisme dégagé par la ligne de la voiture est renforcé par le retour vers l’avant de la ligne longeant l’embase du montant arrière. La réinterprétation
de ce «pli Hofmeister» typique de la marque qui frappe par son rayon étonnamment réduit, le plus serré jamais réalisé sur cette courbe, souligne encore la silhouette élancée, si bien que l’habitacle paraît léger et bas.

La partie arrière au look musclé accentue le caractère sportif.

Évoluant en parallèle, le coup de gouge et la ligne de bas de caisse affichent un tracé ascendant fort dynamique. Le coup de gouge s’étire du passage de roue avant jusque dans les optiques arrière et définit ainsi la forme légèrement conique, élégante et dynamique, de la voiture vue de profil. Grâce au traité sculptural des formes, typique de BMW, les flancs et la partie arrière se confondent les uns dans les autres. Les coups de gouge se poursuivent dans les contours des optiques arrière et se rejoignent au-dessus du creux réservé à la plaque d’immatriculation. En vue arrière, le rétrécissement entre le coup de gouge et le passage de roue confère une forme cintrée au corps de carrosserie. Les passages de roue évasés et la structure horizontale de la partie arrière mettent en avant la stature puissante de la berline. La voie large et les roues à fleur des passages de roue renforcent encore cette impression.
Les optiques arrière en L, y compris leur look nocturne incomparable, repren-nent l’apparence typique de la marque. Trois veines lumineuses alimentées par des leds caractérisent les feux brillant d’une lumière ardente homogène. Les clignotants et les feux stop fonctionnent également grâce à des unités à leds.

Un look nocturne caractéristique grâce à une technique d’éclairage innovante.

Une technique d’éclairage innovante confère un look nocturne particulière-ment expressif à la nouvelle BMW Série 5 Berline et ce, tant à l’avant qu’à l’arrière. De par leur forme sobre et les signaux précis qu’ils émettent, les phares comme les optiques arrière ne laissent aucun doute sur l’identité de la berline, même encore éloignée : il s’agit bien d’une BMW.
En vue de face, les anneaux lumineux à leds cerclant les phares ronds doubles mettent en lumière un trait distinctif typique de la marque selon une interprétation nouvelle, encore plus marquée. Les veines lumineuses hori-zontales des feux arrière se prolongeant loin vers l’avant sur les flancs de la voiture soulignent son allure sportive. La visibilité optimisée et l’effet phare créés par la technique des leds renforce ainsi en même temps l’apparence caractéristique de la nouvelle BMW Série 5 Berline.

L’intérieur : modernité suprême et orientation classique vers le conducteur.

L’aménagement de l’intérieur fait ressortir tant le caractère actif que les qualités de confort de la BMW Série 5 Berline. Les fonctionnalités techniques raffinées incorporées dans une ambiance élégante créent une impression de modernité suprême. Le cockpit est tourné d’environ 7 degrés vers le conduc-teur, et la console centrale organisée de manière asymétrique accentue également cette orientation. Les touches multifonctions intégrées dans les volants de conception nouvelle permettent désormais aussi de piloter le régulateur de vitesse. Tous les éléments de commande et les affichages du combiné d’instruments réalisé selon la technologie black panel sont disposés d’une manière claire et intelligible. Les informations importantes pour la con-duite et les éléments de commande se trouvent du côté conducteur du cockpit. Les indicateurs, régulateurs et touches dédiés au confort sont disposés sur la partie centrale. L’écran de contrôle d’une dimension maximale de 10,2 pouces qui fait partie du système iDrive de série a été intégré de manière harmonieuse dans le tableau de bord.
La structure horizontale du tableau de bord qui souligne l’espace généreux à bord, se poursuit jusqu’à l’arrière en passant par les revêtements de portes, si bien que les passagers peuvent savourer leur voyage dans une ambiance tout en harmonie. Le bandeau décoratif parcourant le tableau de bord et les re-vêtements de portes, disponible en différents coloris et matériaux, est bordé en bas par un listel du type chrome à l’éclat nacré, ce qui le met encore mieux en valeur. Les listels qui se rejoignent dans un mouvement ascendant au niveau de la transition entre le tableau de bord et le revêtement de porte ne sont pas sans captiver le regard.

De multiples rangements, des matériaux raffinés, des harmonies de couleurs séduisantes.

Le confort de voyage régnant à bord de la nouvelle BMW Série 5 Berline est amplifié par de nombreux vide-poches, compartiments de rangement et autres porte-gobelets dans des positions ergonomiques idéales. En plus de la boîte à gants spacieuse, un compartiment rabattant est logé dans le tableau de bord, côté conducteur. Pour la console centrale, les stylistes ont développé deux variantes. Sur les voitures dotées d’une boîte de vitesses manuelle, la surface de la console est divisée en deux, la partie noire qui entoure le levier de vitesses et les touches de commande du Contrôle de la dynamique optionnel s’ouvrant vers le conducteur. Un vide-poches logé entre le levier de vitesses et la façade de commande de la climatisation accueille la clé de la voiture. Lorsque la voiture est équipée d’une boîte automatique, la console centrale forme une surface uniforme d’une élégance raffinée. Le compartiment entre le sélecteur électronique et la façade de commande de la climatisation offre de la place pour deux porte-gobelet et une cavité pour la clé. Un autre vide-poches se trouve derrière le bouton multicommandes du système iDrive. Sur les voitures à boîte manuelle, il intègre un porte-gobelet. Dans ce cas, un deuxième porte-gobelet est placé dans le rangement sous l’accoudoir.
L’accoudoir de la console centrale s’ouvre en papillon, le volet étant divisé dans le sens longitudinal. Outre une connexion USB, une prise auxiliaire et une prise électrique, on y trouve un compartiment de rangement fort pratique.
Des matériaux haut de gamme et une finition à la précision artisanale soulignent l’ambiance de grand prestige régnant à bord de la nouvelle BMW Série 5 Berline. Les nombreuses harmonies de couleurs et variantes de garnitures offrent de multiples possibilités pour personnaliser la voiture à sa guise. Les surpiqûres ornant le cuir mis en œuvre sur les sièges, les poignées de porte et les revêtements de portes mettent encore mieux en valeur les lignes fluides de l’intérieur. Pour la carrosserie, le nuancier proposé pour le lancement commercial de la nouvelle BMW Série 5 Berline comprend sept coloris. À l’intérieur, trois garnitures différentes disponibles en cinq couleurs peuvent être combinées chacune avec jusqu’à trois couleurs intérieures et cinq variantes de bandeaux décoratifs.

Expérience de conduite : dynamisme sans égal, souveraineté sans compromis.



La nouvelle BMW Série 5 Berline incarne un plaisir de conduire unique en son genre. Elle reste ainsi fidèle à elle-même et à la philosophie de la marque tout en créant des accents nouveaux. La berline conforte encore sa position de leader comme voiture la plus sportive de son segment tout en amplifiant l’agrément de conduite par rapport à sa devancière. À la base de ce double progrès : des techniques ultramodernes en matière de motorisations et de liaisons au sol.
Des moteurs à essence et diesels pleins de punch et avides de monter dans les tours sont proposés pour la nouvelle BMW Série 5 Berline. La gamme comprend un V8 essence délivrant 300 kW (407 ch) ainsi que des six cylindres en ligne couvrant une plage de puissance comprise entre 150 kW (204 ch) et 225 kW (306 ch) et sera rapidement enrichie d’un quatre cylindres diesel développant 135 kW (184 ch). La technique du train de roulement repose sur un essieu avant à doubles triangles obliques et un essieu arrière du type Integral V. Cette association bénéficie tant à l’agilité qu’à l’agrément de conduite et confère un comportement de roulis et un comportement transitoire en virage extrêmement harmonieux.
De plus, le Contrôle de la dynamique proposé en option permet au conducteur d’adapter le réglage de sa voiture à ses préférences personnelles. La nouvelle BMW Série 5 Berline peut aussi être équipée du Contrôle dynamique de l’amortissement, de l’antiroulis piloté Dynamic Drive et – autre nouveauté dans cette catégorie automobile – de la Direction active intégrale.

Motorisation de pointe : V8 essence à technologie BMW TwinPower Turbo.

C’est un V8 essence dont la caractéristique de puissance impressionne tout autant que son efficacité qui coiffe la gamme des moteurs proposés pour la nouvelle BMW Série 5 Berline. Le huit cylindres à technologie BMW TwinPower Turbo et injection directe du type High Precision Injection puise une puissance de 300 kW (407 ch) dans une cylindrée de 4,4 litres.
Elle est disponible sur une plage de régimes comprise entre 5 500 et 6 400 tr/mn. Son couple culmine à 600 Newtons-mètres débités entre 1 750 et 4 500 tr/mn. Le V8 animant la nouvelle BMW 550i est le propulseur le plus efficace de son genre et le seul moteur à essence au monde sur lequel les turbocompresseurs et les pots catalytiques sont logés dans l’espace en V formé par les deux rangées de cylindres. Grâce à cette architecture, les conduites entre les turbocompresseurs et la ligne d’admission sont particulièrement courtes. Associée aux échangeurs de l’air de suralimentation refroidis par eau, cette solution se traduit de plus par une réponse ultraspontanée du V8.
Le moteur tout aluminium associe une poussée disponible dès les bas régimes sans jamais s’essouffler avec un velouté hors du commun. 5,0 secondes suffisent à la BMW 550i pour s’élancer de zéro à 100 km/h. Mais elle dispose aussi d’une large réserve de puissance lui permettant des accélérations grisantes même dans la plage des vitesses supérieures. À 250 km/h, la BMW 550i atteint sa vitesse maximale bridée par la gestion moteur électronique. La consommation de carburant moyenne relevée selon le cycle de conduite européen s’élève à 10,4 litres aux 100 kilomètres, les rejets de CO2 sont de 243 grammes par kilomètre.

Six cylindres essence : facilité de monter en régime, velouté, efficacité et innovation sans pareils.

Des six cylindres en ligne à essence modernes se portent aussi garants d’un plaisir de conduire bien dans le vent sur la nouvelle BMW Série 5.
Les groupes propulseurs animant les modèles BMW 535i, BMW 528i et BMW 523i savent convaincre par leur débit de puissance spontanée, leur facilité incomparable de monter en régime, leur efficacité exemplaire et leur velouté hors du commun.
Se distinguant par une puissance de 225 kW (306 ch) et un concept tech-nologique unique en son genre, le six cylindres le plus puissant de la gamme des moteurs disponible pour la nouvelle BMW Série 5 fournit une preuve impressionnante et du naturel sportif de la berline et de la force d’innovation des motoristes BMW. En effet, le six cylindres de 3,0 litres animant la BMW 535i est le premier moteur associant la technologie BMW TwinPower Turbo, l’injection directe essence du type High Precision Injection et la distribution variable VALVETRONIC. Son système de suralimentation, qui fonctionne selon le principe du TwinScroll (double entrée) et, donc, avec des conduits séparés en des groupes de trois cylindres chacun dans le collecteur d’échappement comme dans le turbocompresseur, ainsi que la distribution VALVETRONIC a nouveau perfectionnée permettent au moteur de réagir avec une spontanéité fascinante.
Le moteur débite son couple maximal de 400 Newtons-mètres entre 1 200 et 5 000 tr/mn et atteint sa puissance maximale à 5 800 tr/mn. Associé à la High Precision Injection à nouveau optimisée, il en résulte un rapport performances routières / consommation de carburant inégalé dans cette catégorie de puissance. La nouvelle BMW 535i abat le zéro à 100 km/h en 6,0 secondes seulement. Sa vitesse maximale est bridée à 250 km/h par l’électronique. Elle affiche une consommation moyenne de 8,5 litres aux 100 kilomètres selon le cycle européen et émet 199 grammes de CO2 par kilomètre.
Les six cylindres équipant les modèles BMW 528i et BMW 523i intègrent une version de l’injection High Precision Injection qui est encore plus axée sur l’efficacité. Les deux moteurs atmosphériques d’une cylindrée identique de 3,0 litres sont alimentés en carburant par l’injection directe pour fonctionner en mélange pauvre. Le fonctionnement sobre en mélange pauvre dans lequel la part de carburant est réduite par rapport à celle de l’air est maintenu sur une large plage de charge et même à des régimes supérieurs. L’avidité de monter dans les tours et le débit de puissance dynamique, typiques des six cylindres BMW, se doublent ainsi de valeurs de consommation et d’émissions particulièrement favorables.
Sous le capot de la nouvelle BMW 528i, le moteur produit ainsi une puissance de 190 kW (258 ch) à un régime de 6 600 tr/mn et un couple maximal de 310 Newtons-mètres disponible entre 2 600 et 5 000 tr/mn. Départ arrêté, la BMW 528i, nouveau cru, met 6,6 secondes pour atteindre 100 km/h ; sa vitesse maximale est bridée électroniquement à 250 km/h. Les performances routières sportives de la berline s’accompagnent d’une consommation moyenne de 7,8 litres aux 100 kilomètres selon le cycle européen et d’émissions de CO2 de 182 grammes par kilomètre.
Le moteur de la nouvelle BMW 523i délivre, quant à lui, une puissance de pointe de 150 kW (204 ch) à 6 100 tr/mn et atteint un couple maximal de 270 Newtons-mètres disponible entre 1 500 et 4 250 tr/mn. Il porte la berline en 7,9 secondes de zéro à 100 km/h et lui permet de filer à une vitesse maximale de 238 km/h selon le cycle de conduite européen. La consommation moyenne de la nouvelle BMW 523i s’établit à 7,6 litres aux 100 kilomètres pour des émissions de CO2 de 177 grammes par kilomètre.

Six cylindres diesel : plein de punch et prêt à répondre à la norme antipollution Euro 6 grâce à la technologie BluePerformance optionnel.

Représentant d’une nouvelle génération de six cylindres en ligne diesel turbocompressés, le groupe de 3,0 litres animant la BMW 530d se met en avant par un punch, un velouté et une sobriété encore en hausse. Ces qualités typiques des diesels BMW sont réalisées grâce à un carter tout aluminium, à un système de suralimentation évolué à géométrie variable de la turbine et à une injection à rampe commune de la toute dernière génération. L’alimentation en carburant passe par des injecteurs piézo-électriques perfectionnés agissant désormais sous une pression maximale de 1 800 bars. Les injecteurs placés en position centrale et les soupapes disposées verticalement assurent une combustion homogène et contribuent à réduire les émissions brutes.
Le six cylindres diesel développe 180 kW (245 ch) à un régime moteur de 4 000 tr/mn, son couple culmine à 540 Newtons-mètres disponibles sur une plage de régimes comprise entre 1 750 et 3 000 tr/mn. Départ arrêté, la nouvelle BMW 530d s’élance en 6,3 secondes à 100 km/h et elle file à une vitesse maximale de 250 km/h. Selon le cycle de conduite européen, elle consomme en moyenne 6,3 litres aux 100 kilomètres pour des émissions de CO2 de 166 grammes par kilomètre.
En dotation standard, la nouvelle BMW 530d répond – comme toutes les autres variantes de la BMW Série 5 Berline – à la norme antipollution Euro 5. La technologie BMW BluePerformance désormais aussi disponible sur ce modèle en association avec une boîte automatique permet cependant d’optimiser encore le comportement à l’émission du moteur diesel. En plus des deux composants logés dans un boîtier commun que sont le filtre à particules et le catalyseur à oxydation, un piège à NOX veille à réduire encore les oxydes azotiques contenus dans les gaz d’échappement. Le système de dépollution de la nouvelle BMW 530d satisfait ainsi dès aujourd’hui aux dispositions qui n’entreront en vigueur qu’en 2014, avec la norme Euro 6. Comme le filtre à particules, le piège à NOX est exempt d’entretien sur toute la durée de vie de la voiture et se passe de tout additif.
La nouvelle BMW 525d est également animée par un six cylindres en ligne de la toute dernière génération. Dans la version mise au point pour ce modèle, le diesel tout aluminium délivre une puissance de 150 kW (204 ch) à 4 000 tr/mn. Le couple maximal a été porté à 450 Newtons-mètres disponi-bles sur une plage de régimes comprise entre 1 750 et 2 500 tr/mn. Le punch du moteur lui permet d’amener la BMW 525d en 7,2 secondes de zéro à 100 km/h et de lui conférer une vitesse maximale de 236 km/h. Avec une consommation moyenne de 6,2 litres de gazole aux 100 kilomètres selon le cycle européen et des rejets de CO2 de 162 grammes par kilomètre, le six cylindres diesel est inégalé quant à l’efficacité.

Quatre cylindres diesel : puissance accrue, avance confortée sur le plan de l’efficacité.

La gamme des moteurs proposés pour la nouvelle BMW Série 5 est complétée par un autre turbodiesel perfectionné qui fixe les nouvelles références pour l’efficacité dans ce segment automobile. Le quatre cylindres diesel de 2,0 litres animant la nouvelle BMW 520d combine un carter en aluminium composite, une injection à rampe commune de la toute dernière génération et un turbocompresseur à géométrie d’admission variable. Le gain de puissance et d’efficacité obtenu par rapport au devancier de ce moteur résulte d’une optimisation rigoureuse des chambres de combustion, du système de suralimentation et de la culasse ainsi que de la réorganisation des périphé-riques qui minimisent les pertes par frottement.
Le système de suralimentation du quatre cylindres diesel, qui a fait l’objet d’une optimisation thermodynamique, assure un débit de puissance optimal sur toute la plage de charges. Un servomoteur électrique adapte les ailettes de la turbine du turbocompresseur en quelques fractions de seconde à l’état de charge donné du moteur. C’est ainsi que le moteur répond avec autant de spontanéité aux bas régimes qu’à pleine charge lorsque le conducteur appelle la puissance maximale. Le système d’injection dont les injecteurs à électro-vanne agissent sous une pression pouvant atteindre 1 800 bars, permet de doser le gazole avec une grande précision et d’assurer une combustion à la fois très homogène et propre.
La puissance maximale du quatre cylindres s’est accrue de 5 kW pour atteindre 135 kW (184 ch), elle est délivrée à un régime de 4 000 tr/mn. En hausse de 30 Newtons-mètres, le couple culmine désormais à 380 Newtons-mètres disponibles entre 1 900 et 2 750 tr/mn. Départ arrêté, la nouvelle BMW 520d atteint ainsi les 100 km/h après 8,1 secondes seulement et elle pointe à 227 km/h (valeurs provisoires). Se contentant en moyenne de 5,0 litres de gazole aux 100 kilomètres selon le cycle européen et n’émettant que 132 grammes de CO2 par kilomètre (valeurs provisoires), la BMW 520d conforte encore sa position de voiture la plus efficace de son segment.

Boîte mécanique à six rapports optimisée à graissage à carter sec en dotation standard.

Des technologies innovantes amplifient aussi le plaisir de conduire en optimi-sant l’efficacité de la nouvelle BMW Série 5 Berline dans la transmission du couple aux roues arrière. Grâce à la mise en œuvre d’un graissage à carter sec, la boîte mécanique à six rapports de série sur les modèles BMW 535i, BMW 525d et BMW 520d se targue d’une amélioration du rendement résultant d’une nette réduction des pertes par résistance et de la suppression totale des pertes par barbotage.
La nouvelle BMW 530d ainsi que les modèles BMW 528i et BMW 523i font appel à des variantes à rendement optimisé de la boîte mécanique à six rap-ports à alimentation en huile conventionnelle. Le levier de vitesses reconçu pour toutes les variantes de modèle ainsi que les tiges de commande également perfectionnées permettent de passer les rapports avec une précision extrême, les efforts de commande restant constants. La caractéristique sportive de la boîte manuelle, si chère à la marque, est ainsi encore mieux mise en valeur.

Une innovation au rendement unique : la boîte automatique à huit rapports.

La BMW 550i est équipée de série de la nouvelle boîte automatique à huit rapports inaugurée sur la berline de luxe à douze cylindres BMW 760i ; toutes les autres variantes de la nouvelle BMW Série 5 Berline peuvent en bénéficier en option. C’est ainsi que la nouvelle BMW 520d est la première voiture au monde sur laquelle un quatre cylindres peut s’accoupler à une boîte automa-tique à huit rapports. La boîte innovante associe confort de commande, sportivité et efficacité d’un niveau inédit à ce jour et elle est à tous les égards nettement supérieure aux boîtes automatiques et boîtes à double embrayage mises en œuvre dans son environnement concurrentiel. En alternative, la nouvelle BMW Série 5 Berline peut aussi recevoir une variante automatique sport de la boîte à huit rapports ; également disponible en option, elle prévoit aussi la sélection manuelle des rapports via des palettes de commande au volant. Sa logique de commande correspond au principe ayant déjà fait ses preuves sur les automobiles BMW M : pour monter les rapports, il faut action-ner la palette de droite, pour rétrograder, il faut intervenir sur celle de gauche. Autre trait distinctif de la boîte automatique sport : le sélecteur électronique au look spécifique logé sur la console centrale.
La boîte automatique à huit rapports se distingue par une conception innovante des trains de pignons. Les huit rapports avant et la marche arrière sont réalisés à l’aide de quatre trains de pignons simples et cinq éléments de commande. La disposition de ces composants, mise en œuvre pour la première fois sur une boîte automatique à huit rapports, assure l’ouverture de deux embrayages sur cinq seulement sur chaque rapport. Les pertes par résistance par rapport aux boîtes automatiques existant à ce jour sur le marché s’en trouvent sensiblement réduites.
Malgré l’ouverture plus grande, les sauts de régime au passage des rapports sont inférieurs, parce que le nombre des rapports est passé à huit. Lors de l’accélération, l’étagement harmonieux des rapports assure un gain de vitesse parfaitement constant. Les temps de réaction et de passage des rapports encore réduits en comparaison avec la boîte automatique à six rapports béné-ficient tant au confort qu’au comportement dynamique. Pour monter ou descendre un rapport, il ne faut à chaque fois ouvrir qu’un seul embrayage. L’accès direct au rapport cible permet aussi de passer plus de deux rapports à la fois avec des temps de réaction et de passage ultracourts. Le rétrogradage du huitième au deuxième rapport, important pour des accélérations très spontanées (kick-down), est également direct et ne demande l’ouverture que d’un seul embrayage.

La technique raffinée des liaisons au sol bénéficie à l’agilité et au confort.

La technique ambitieuse mise en œuvre sur le train de roulement de la nouvelle BMW Série 5 Berline est à la base des qualités routières extraordinaires et de l’agrément de conduite à nouveau en hausse sur la nouvelle voiture. Son essieu avant à doubles triangles obliques en aluminium permet de séparer les fonctions de guidage des roues et d’amortissement, ce qui bénéficie au confort. Ne subissant pratiquement aucune force latérale, les amortisseurs peuvent réagir avec une sensibilité particulière à la moindre aspérité de la route. En même temps, présentant un carrossage adapté à la perfection, la cinématique de l’essieu avant assure un contact optimal entre les pneus et la route. Il est ainsi possible de transmettre des forces latérales élevées sans devoir adopter un réglage résolument ferme qui porterait atteinte au confort. La remontée d’influences perturbatrices dans la direction est également minimisée. Les situations de conduite dynamiques caractérisées par une accélération transversale élevée se maîtrisent ainsi avec souveraineté et dans le confort.
L’essieu arrière Integral V, une conception nouvelle, elle aussi en aluminium, offre également des conditions idéales pour accroître le dynamisme de con-duite tout autant que le confort. Il reprend les forces motrices et dynamiques introduites dans la suspension des roues via le porte-moyeu, le berceau de l’essieu, le triangle inférieur et trois bras. Le nouveau logement élastociné-matique du triangle inférieur permet de neutraliser les chocs agissant dans l’axe longitudinal par un débattement rectiligne vers l’arrière. Les forces introduites radialement et axialement dans les silentblocs du triangle inférieur sont ainsi bien séparées les unes des autres. L’essieu étant efficacement découplé et de la route et de la chaîne cinématique, il assure de plus un confort acoustique et vibratoire hors classe.
Sur la nouvelle BMW Série 5 Berline, l’essieu avant à doubles triangles obliques et l’essieu arrière Integral V forment de plus un axe de roulis quasiment parallèle à la route. Il en résulte un comportement étonnamment harmonieux et stable en virage, les essieux avant et arrière affichant à tous moments un comportement de roulis et un comportement transitoire concordant.

Adaptive Drive : encore plus de dynamisme et un confort unique.

En option, la nouvelle BMW Série 5 Berline peut recevoir le système Adaptive Drive qui comprend le Contrôle dynamique de l’amortissement et l’antiroulis actif Dynamic Drive. Pilotés par l’électronique, les amortisseurs s’ajustent de manière adaptative tant au revêtement de la route qu’au style de conduite pour éviter des mouvements indésirables de la carrosserie provoqués par des aspérités ou par des accélérations transversales élevées. BMW est le premier constructeur automobile au monde à faire appel à ce système d’amortissement étrenné sur la nouvelle BMW Série 7, système sur lequel le réglage en détente et en compression se fait en continu et l’un indépendamment de l’autre. C’est une formule unique pour réaliser un tarage ferme du train de roulement tout en assurant une réaction agréable aux irrégularités de la route. Le conducteur a la possibilité d’influencer la loi du Contrôle dynamique de l’amortissement via le Contrôle de la dynamique en choisissant entre les modes confort, normal et sport.
Le système antiroulis Dynamic Drive réduit entre autres l’inclinaison du véhicule dans les virages négociés à allure soutenue et lors de changements de direction abrupts. En sondant la situation de conduite momentanée, des capteurs saisissent le roulis et activent des vérins rotatifs intégrés aux barres antiroulis avant et arrière afin qu’ils s’y opposent avec autant de rapidité que de précision. Par modulation de la répartition du couple entre l’essieu avant et l’essieu arrière, le comportement propre de la voiture ainsi que son comportement au transfert de masses sont ainsi adaptés aux exigences du moment, en fonction de la situation de conduite et du tarage du train de roulement. Sur les modèles BMW 520d, BMW 525d, BMW 523i et BMW 528i, le Contrôle dynamique de l’amortissement est aussi disponible comme une option individuelle.

Précision et efficacité : première de la direction à assistance électromécanique EPS sur la nouvelle BMW Série 5.

La nouvelle BMW Série 5 Berline est la première automobile de son segment à s’équiper de la direction à assistance électromécanique EPS (Electric Power Steering). Le système innovant augmente la précision et l’agrément des braquages. La maniabilité typique de BMW est par ailleurs assurée d’une manière particulièrement efficace. Contrairement à des systèmes hydromécaniques conventionnels, l’assistance à la direction est fournie par un moteur électrique. Celui-ci n’entre en action que lorsqu’une assistance est nécessaire ou souhaitée par le conducteur. En ligne droite ou dans des vira-ges pris avec un angle de braquage constant par contre, le moteur électrique ne consomme pas d’énergie.
Pour assurer une précision directionnelle maximale, les spécialistes ont veillé à un réglage précis et homogène de la direction avec le retour d’information typique de BMW. Lorsque le mode «sport» du Contrôle de la dynamique est activé ou le DSC désactivé, le niveau du couple de braquage est encore légèrement augmenté.
L’EPS permet aussi de gérer l’alignement du volant avec une précision particulière. En dotation standard, la direction à assistance électromécanique de la nouvelle BMW Série 5 Berline comprend aussi la fonction Servotronic grâce à laquelle l’assistance à la direction est asservie à la vitesse. Ainsi par exemple, pour effectuer un créneau et manœuvrer la voiture à petite allure, l’effort à déployer au volant est faible. À vitesse plus élevée, l’assistance à la direction diminue pour optimiser le toucher de la route et la marche en ligne droite. De plus, l’EPS élimine avec efficacité la remontée de chocs dans le volant et d’autres vibrations gênantes. Une analyse ciblée de signaux relatifs à la dynamique permet de procurer au conducteur un retour d’information authentique sur la direction, surtout dans des situations de conduite hautement dynamiques.

Direction active intégrale : maniabilité accrue en ville, confort supplémentaire aux changements de file rapides.

La Direction active intégrale disponible sur demande pour la nouvelle BMW Série 5 Berline est une autre nouveauté dans le haut de la gamme moyenne. Elle marie la Direction active des roues avant déjà proposée sur la devancière avec des roues arrière directrices. Pour la première fois, l’angle de braquage et l’assistance à la direction sont gérés à l’aide de moteurs électriques sur l’essieu tant avant qu’arrière.
Sur une voiture dotée de la Direction active intégrale, celle-ci influence les efforts à déployer au volant via la fonction Servotronic et l’angle de braquage des roues avant via l’engrenage de superposition de la Direction active, en tenant compte de la vitesse de la voiture. Via un mécanisme à écrou à billes et un moteur électrique en position concentrique sur l’essieu arrière, le système gère aussi l’angle de braquage des roues arrière. À l’avant comme à l’arrière, la Direction active intégrale module l’angle de braquage à l’aide d’un moteur électrique dont le boîtier électronique tient compte des informations sur la vitesse de rotation des roues, les mouvements du volant, le taux de lacet et l’évolution de l’accélération transversale, transmises par des capteurs, pour assurer ainsi un comportement directionnel adapté de manière optimale à chaque situation.
La Direction active des roues avant permet au conducteur de manœuvrer sa voiture à basse vitesse par de petits mouvements du volant sans devoir en-trecroiser les mains. À vitesse plus élevée, le même mouvement du volant déclenche un braquage moindre des roues, ce qui profite à la précision directionnelle à l’amorce des virages. La Direction active intégrale permettant d’imprimer aussi un angle de braquage maximal de 2,5 degrés aux roues ar-rière, la voiture se montrera encore plus maniable en circulation urbaine et sur des cols sinueux. Jusqu’à une vitesse de 60 km/h, les roues arrière tournent dans ce cas dans le sens opposé à celles de l’essieu avant. La réduction du diamètre de braquage d’environ 0,5 mètre qui en résulte se double d’un gain de confort dû aux efforts réduits à déployer au volant. À vitesse supérieure, la Direction active intégrale confère des réactions absolument souveraines et confortables à la voiture lorsqu’elle change de file ou s’inscrit en virage. Les roues arrière braquent alors dans le même sens que les roues avant. Quelle que soit la situation, la BMW Série 5 Berline suit le cap imposé par le conducteur avec précision et souveraineté. Les changements de direction déclenchés à vive allure produisent une accélération transversale croissante sans que le taux de lacet augmente dans la même proportion. Le découplage de ces deux facteurs entraîne un net gain de confort pour les passagers.

Contrôle de la dynamique : tarage idéal de la voiture pour toute situation.

Ce n’est pas seulement par son dynamisme, mais aussi par son agrément de conduite que la nouvelle BMW Série 5 Berline fixe de nouveaux repères dans le haut de la gamme moyenne. Grâce à la technique de son train de roulement de série, ces deux facteurs sont bien équilibrés. Sur demande, le conducteur peut mettre l’accent tant sur la sportivité que sur le confort de la berline et ce, en fonction de la situation de conduite et de ses préférences individuelles. Il dispose pour cela du Contrôle de la dynamique qui fait partie de la dotation de la nouvelle BMW Série 5 Berline en association avec les options boîte automatique sport, Direction active intégrale et Contrôle dyna-mique de l’amortissement ou Adaptive Drive.
Le Contrôle de la dynamique permet de moduler la progression de l’accélé-rateur, la réponse du moteur, la loi de l’assistance à la direction et les seuils de réponse du Contrôle dynamique de la stabilité DSC et, lorsque la voiture est équipée en conséquence, la dynamique de commande de la boîte automatique et la loi du Contrôle dynamique de l’amortissement. Le conducteur peut appeler le tarage préféré de sa voiture par actionnement d’une touche à bascule logée sur la console centrale. Elle lui permet de choisir entre les modes «NORMAL», «SPORT» et «SPORT+». En association avec le Contrôle dyna-mique de l’amortissement ou de l’Adaptive Drive, le mode «CONFORT» vient s’y ajouter. En actionnant la touche, le conducteur active un tarage global préconfiguré, résultant du réglage harmonieux des différents composants du moteur et du train de roulement.
Les différences entre les différents modes sont bien sensibles au volant. Ainsi par exemple, le mode «SPORT» se distingue par un comportement directionnel nettement plus direct et une réponse plus spontanée à chaque mouvement imprimé à l’accélérateur. Le Contrôle de la dynamique autorise de plus une configuration individuelle pour le niveau «SPORT». Ainsi, via le système iDrive, le conducteur peut sélectionner le tarage sport ou le tarage normal pour les fonctions tant de l’ensemble mécanique que du châssis. Il peut ainsi profiter, par exemple, des réglages sportifs de l’ensemble mécanique même si l’activation d’un tarage ferme des amortisseurs est déconseillée en raison de l’état de la route.
Une autre touche, facile à repérer par un pictogramme symbolisant la réduction de la stabilité, sert à choisir le réglage du DSC. Elle permet d’activer un mode de traction spécial facilitant par exemple le démarrage ou la conduite sur du sable meuble ou sur de la neige peu tassée. C’est le Contrôle de traction dynamique (DTC), un mode spécial du DSC, qui s’en porte garant en relevant les seuils d’intervention du Contrôle de la stabilité. La fonction DTC est aussi activée en mode «SPORT+». Elle admet alors un léger patinage sur les roues motrices et permet ainsi de négocier les virages en dérapage con-trôlé.
Une pression prolongée sur la touche susmentionnée a pour effet de dé-connecter entièrement le DSC. En mode DSC Off, une fonction de blocage électronique du différentiel arrière est activée. Elle privilégie une conduite résolument sportive, par exemple à l’accélération en sortie de virages et autres épingles. Pour optimiser la traction, une roue motrice se mettant à patiner à l’accélération dans des virages serrés est freinée de manière ciblée et adéquate, la motricité étant ainsi assurée par l’autre roue motrice.

Système de freinage de construction légère : endurance, dosage précis et confort.

Les freins endurants, qui sont par ailleurs très faciles à commander et peuvent être dosés avec une très grande précision, contribuent également aux qualités routières dynamiques de la nouvelle BMW Série 5 Berline. La nouvelle BMW Série 5 possède un système de freinage de construction légère à étriers flottants et disques ventilés sur lesquels l’anneau de friction est riveté sur le bol en aluminium. Associé aux étriers en aluminium du type cadre sur l’essieu avant, ce principe breveté par BMW et entre-temps repris par d’autres constructeurs automobiles réduit sensiblement les masses non suspendues.
En fonction de la motorisation, les disques de frein ont un diamètre atteignant 374 millimètres au maximum. Les dimensions généreuses du système de freinage s’accompagnent de roues de série plus grandes par rapport à celles de la devancière. Toutes les variantes de la berline évoluent sur des roues en alliage léger d’une dimension de 18 pouces sur la nouvelle BMW 550i et de 17 pouces sur les autres modèles. La taille des pneus correspondants est de 245/45 R 18 sur le top modèle et de 225/55 R 17 sur les autres variantes.
Le système de freinage est soutenu par les vastes fonctionnalités de l’aide à la conduite qu’est le Contrôle dynamique de la stabilité (DSC). Outre les interventions stabilisatrices, ce système comporte nombre d’autres fonctionnalités favorisant une conduite à la fois sûre et dynamique. Ainsi, le système antiblocage des roues (ABS), l’antipatinage à régulation électronique (ASC), le Contrôle de stabilité de la remorque, le Contrôle du freinage en courbe (CBC), ainsi que le Contrôle dynamique du freinage (DBC) qui maximise automatiquement la pression de freinage sur les deux essieux lorsqu’il détecte que le conducteur envisage une décélération maximale. La fonction antifading veille à une augmentation ciblée de la pression de freinage en cas de températures extrêmes des freins pour éviter l’évanouissement de l’effet de freinage. La fonction freins secs intervenant régulièrement sur route mouillée optimise les performances de freinage sous la pluie, alors que la fonction de pré-freinage établit une pression de freinage modérée dès que le conducteur lève rapidement le pied. De plus, l’assistant au démarrage facilite le démarrage en côte.

Frein de stationnement électromécanique et fonction de maintien automatique.

Le frein de stationnement électromécanique de la nouvelle BMW Série 5 Berline est activé en tirant brièvement sur la touche dédiée sur la console centrale. Pour desserrer le frein de stationnement, il suffit de donner une impulsion sur la touche tout en appuyant sur la pédale de frein. Cette con-figuration exclut le desserrage intempestif du frein de stationnement lorsque le contact est coupé. Lorsque la voiture roule, il est possible de déclencher un freinage d’urgence automatique réglé par l’ABS en tirant de façon prolongée sur la touche d’actionnement du frein de stationnement.
Le frein de stationnement à commande électromécanique comprend une fonction de maintien automatique ou Auto Hold qui amplifie le confort surtout dans une circulation en accordéon. Lorsque la voiture s’arrête, la pression de freinage est maintenue constante si bien qu’elle est automatiquement retenue – même en pente – jusqu’à ce que le conducteur appuie à nouveau sur l’accélérateur. Lors de la phase de maintien, il n’a donc pas besoin de rester sur la pédale de frein. La fonction de maintien automatique est activée et désactivée à l’aide d’une touche séparée logée sur la console centrale.

Gérer le dynamisme avec intelligence : Integrated Chassis Management et technologie FlexRay.

Les systèmes importants pour le dynamisme de la nouvelle BMW Série 5 Berline sont parfaitement mis en scène grâce à leur interconnexion via le système de gestion intégrée du châssis Integrated Chassis Management (ICM). La gestion électronique performante, qui centralise l’analyse du comportement du véhicule en dépouillant de nombreux signaux transmis par des capteurs, permet d’adapter les différentes fonctions de l’ensemble mécanique et du train de roulement les unes aux autres en quelques fractions de seconde, de sorte qu’elles assurent en toute circonstance une stabilité maximale. Même si les conditions changent brusquement – par exemple sous l’effet d’un changement d’adhérence, d’un braquage abrupt, d’une accélération ou d’un freinage inopinés – l’ICM réagit par des interventions précises sur les actuateurs du DSC ainsi que des systèmes Direction active intégrale et Adaptive Drive, si la voiture est dotée de ces options.
Le type d’interconnexion des systèmes d’aide à la conduite et de l’ensemble mécanique est également unique en son genre. Pour assurer la coordination rapide et fiable des systèmes, la voiture fait appel au système de transmission de données haute vitesse FlexRay. Ce système porté à la série par un con-sortium de développement dans lequel BMW est l’un des chefs de file, se distingue par une capacité de transfert jusqu’ici inégalée. Son débit de trans-mission de données est 20 fois supérieur à celui des systèmes conventionnels. BMW est le premier constructeur automobile au monde à mettre en œuvre la technologie FlexRay sur ses voitures de série.


BMW EfficientDynamics sur la nouvelle BMW Série 5 : de bonnes raisons pour un plaisir de conduire amplifié.



La nouvelle BMW Série 5 se présente : elle est l’incarnation même du plaisir de conduire dans le haut de la gamme moyenne. Avec la technique souveraine de son train de roulement, son confort sublime ainsi que les nombreuses dotations empruntées à la catégorie de luxe, elle est la voiture idéale pour les automobilistes pour lesquels la voiture est un moyen de locomotion utilisé souvent et avec plaisir. Les qualités plurielles de la berline reflètent la vaste compétence de développement détenue par le premier constructeur d’automobiles de grand prestige au monde et ce, sous une forme particulièrement concentrée. Parmi ses traits essentiels, on compte de ce fait aussi un rapport consommation de carburant / plaisir au volant qui cherche son pareil. Celui-ci est le fruit de la stratégie de développement BMW EfficientDynamics. La nouvelle BMW Série 5 Berline intègre les résul-tats de cette stratégie à l’échelle mondiale, en dotation standard et en grand nombre. Sa sobriété extraordinaire et son comportement exemplaire à l’émis-sion sont donc d’autres bonnes raisons pour savourer le plaisir de conduire à bord de la BMW Série 5.
Tous les groupes propulseurs disponibles sur la nouvelle BMW Série 5 Berline sont nés dans le cadre de la stratégie de développement BMW EfficientDynamics. Outre les moteurs à essence et diesels à con-sommation optimisée, des transmissions se distinguant par un rendement particulièrement élevé, une construction légère étendue, une aérodynamique affinée dans le détail et de nombreuses autres mesures bénéficiant à l’effica-cité font que chaque variante de la nouvelle BMW Série 5 peut se targuer d’une consommation et d’émissions exemplaires dans sa catégorie de puis-sance respective. Dans ce contexte, la nouvelle BMW 520d conforte encore sa position de voiture la plus sobre de son segment automobile. Lorsqu’elle est dotée d’une boîte automatique, la BMW 530d peut recevoir la technologie BluePerformance optionnelle et est ainsi le quatrième modèle de la marque qui satisfait dès aujourd’hui aux dispositions de la norme antipollution Euro 6 qui n’entrera en vigueur qu’en 2014.

Les moteurs à essence de la nouvelle BMW Série 5 : combinaison parfaite d’innovations favorisant l’efficacité.

Les moteurs à essence mis à disposition pour la nouvelle BMW Série 5 Berline se distinguent par la spontanéité, la facilité à monter en régime et le velouté typiques de la marque auxquels s’ajoute une efficacité inégalée. Qu’il s’agisse du huit cylindres animant le modèle de pointe BMW 550i ou des trois six cylindres en ligne, tous arborent des innovations techniques développées dans le cadre de BMW EfficientDynamics. Grâce à une combinaison spécifique des différentes technologies, chacun des quatre moteurs affiche un naturel qui lui est propre.
L’alimentation en carburant par une injection directe de la deuxième géné-ration constitue le principal point commun partagé par tous les moteurs à essence. Sur le système d’injection dite High Precision Injection, des injecteurs placés en position centrale entre les soupapes et à proximité directe de la bougie assurent une injection de carburant dosée avec précision. Cette technique permet de garantir aussi une réduction mesurable de la consom-mation de carburant dans la circulation au quotidien. Une version de la High Precision Injection qui vise tout particulièrement l’efficacité des moteurs atmosphériques est mise en œuvre sur les six cylindres animant les nouvelles BMW 528i et BMW 523i. L’injection directe en mélange pauvre confère une consommation particulièrement favorable à ces modèles. Cette méthode, appelée aussi à charge stratifiée, se distingue par la formation de plusieurs strates de mélange caractérisées par différents rapports air/carburant qui se confondent à l’intérieur de la chambre de combustion. Plus la distance par rapport à la bougie est grande et plus la richesse du mélange diminue et ce, de manière continue. Ce n’est qu’autour de la bougie d’allumage que se forme un noyau de richesse, soit du mélange inflammable. Dès que ce noyau s’enflamme, les strates pauvres plus éloignées de la bougie brûlent également dans un processus propre et homogène.
Le V8 animant la nouvelle BMW 550i et le six cylindres en ligne équipant la nouvelle BMW 535i combinent l’injection du type High Precision Injection avec la suralimentation par turbocompresseurs. La technologie BMW TwinPower Turbo leur procure une caractéristique de puissance que des moteurs atmosphériques ne pourraient atteindre qu’au prix d’un agran-dissement considérable de la cylindrée avec la prise de poids qui en résulte et l’augmentation inévitable de la consommation et des émissions. Le huit cylindres à technologie BMW TwinPower Turbo et injection du type High Precision Injection est le seul moteur à essence de son espèce logeant ses turbocompresseurs et ses pots catalytiques dans l’espace en V entre les deux rangées de cylindres et il est le moteur le plus efficace au monde dans cette catégorie de puissance. La nouvelle BMW 550i se distingue par une baisse de consommation d’environ 5 pour cent par rapport à sa devancière, bien que sa puissance ait progressé de 30 kW.
Sur le six cylindres animant la BMW 535i, le BMW TwinPower Turbo et l’injection du type High Precision Injection sont de plus associés, pour la toute première fois, à la distribution VALVETRONIC entièrement variable. Ce sys-tème permet une gestion en continu de la levée des soupapes et de l’ouverture des soupapes d’admission. Les pertes par pompage sont ainsi réduites à un minimum et l’énergie contenue dans le carburant est exploitée de manière particulièrement efficace. De plus, la réponse du moteur s’en trouve optimisée. Fort de 225 kW (306 ch), le moteur porte la nouvelle BMW 535i en 6,0 secondes de zéro à 100 km/h tout en se contentant en moyenne de 8,5 litres aux 100 kilomètres selon le cycle européen, soit un résultat inégalé dans cette catégorie de puissance.
Le perfectionnement permanent des moteurs dans le cadre de la stratégie BMW EfficientDynamics comprend aussi l’allègement. Les propulseurs ani-mant la nouvelle BMW 550i et la nouvelle BMW 535i sont essentiellement en aluminium. Les six cylindres en ligne équipant la BMW 528i et la BMW 523i possèdent un carter en magnésium et aluminium. Cette conception permet de gagner environ 24 pour cent par rapport à un carter comparable en aluminium.
L’optimisation du poids ne bénéficie pas seulement à l’efficacité, mais aussi à l’agilité des voitures. Toutes les variantes de la nouvelle BMW Série 5 Berline se targuent d’une répartition parfaitement équilibrée des masses de presque 50 / 50 entre les essieux avant et arrière. En association avec la propulsion, la répartition harmonieuse des charges sur essieux est une base déterminante pour le comportement routier à la fois dynamique et souverain de la nouvelle BMW Série 5 Berline.

Punch, légèreté, efficacité : les diesels de la toute dernière génération.

Les variantes diesel de la nouvelle BMW Série 5 Berline représentent, elles aussi, le dernier état de l’art en matière de moteurs. Conception tout alu-minium, injection directe à rampe commune de la dernière génération et suralimentation par turbocompresseur – voilà ce qui confère des reprises impressionnantes, une grande onctuosité et une efficacité inégalée aux moteurs diesel, qu’ils soient à quatre ou à six cylindres.
Les modèles BMW 530d et BMW 525d font appel à deux représentants d’une nouvelle génération de six cylindres en ligne diesel. Sur ces moteurs, toute une série d’innovations assure une combustion extrêmement efficace et propre. Un nouvel allègement par rapport aux moteurs précédents ne profite pas seulement à l’efficacité, mais aussi à l’agilité des deux modèles. Les deux moteurs ont une cylindrée de 3,0 litres ; et un système de turbocompresseur à géométrie d’admission variable optimisé leur confère du punch dès les bas régimes. L’alimentation en carburant par une injection directe à rampe com-mune de la toute dernière génération passe par des injecteurs piézo-électriques agissant sous une pression maximale de respectivement 1 800 bars (BMW 530d) et 1 600 bars (BMW 525d). Comparés à leurs devancières, les nouvelles BMW 530d et BMW 525d présentent une puissance accrue de respectivement 7 et 5 kW, alors que leur consommation moyenne selon le cycle de conduite européen a baissé de jusqu’à 4 pour cent.
En option, la nouvelle BMW 530d en version à boîte automatique peut être dotée de la technologie BMW BluePerformance. BMW conforte ainsi systé-matiquement son rôle de pionnier dans l’introduction de techniques de dépollution permettant d’atteindre une nouvelle réduction substantielle des émissions d’oxydes azotiques (NOX). Sur la nouvelle BMW 530d à technologie BMW BluePerformance, le filtre à particules et le catalyseur à oxydation également de série se voient compléter par un piège à NOX. Celui-ci est exempt d’entretien sur toute la durée de vie de la voiture et se passe de tout additif. Même pour la réduction des oxydes d’azote, le système de dépollution satisfait ainsi dès aujourd’hui aux dispositions de la norme Euro 6 qui n’entrera pourtant en vigueur qu’en 2014.
Grâce au perfectionnement systématique de son quatre cylindres diesel, la nouvelle BMW 520d affiche un rapport à nouveau amélioré entre perfor-mances routières et consommation de carburant. La puissance maximale
du moteur de 2,0 litres en aluminium s’est accrue de 5 kW pour atteindre 135 kW, son couple maximal a progressé de 30 Newtons-mètres pour en atteindre 380. En même temps, la nouvelle BMW 520d creuse son avance de voiture la plus sobre et la plus propre du segment. En effet, sa consommation moyenne selon le cycle de conduite européen s’établit à 5,0 litres aux 100 kilomètres seulement pour des rejets de CO2 de 132 grammes par kilomètre (valeurs provisoires).

Première au sein de la BMW Série 5 : la fonction d’arrêt et de redémarrage automatiques du moteur.

La dotation standard de la nouvelle BMW 520d comprend la fonction d’arrêt et de redémarrage automatiques du moteur, qui réduit les phases pendant lesquelles le moteur tourne au ralenti lors de brèves haltes à un carrefour ou dans un embouteillage. Dès que le conducteur amène le levier de vitesses au point mort et qu’il lâche la pédale d’embrayage, le moteur est automatiquement coupé. Lorsque la route est libre, il suffit d’actionner l’embrayage pour que le moteur redémarre sans délai.
En outre, toutes les variantes à boîte mécanique de la nouvelle BMW Série 5 Berline disposent en série d’un indicateur de changement de rapport. Une flèche s’allumant dans le combiné d’instruments accompagnée de l’indication du meilleur rapport signale au conducteur le meilleur moment pour passer le rapport. En fonction de la situation de conduite, la gestion moteur calcule pour cela le moment idéal pour changer de vitesse en vue d’optimiser la consommation.

Récupération de l’énergie libérée au freinage, indication de l’énergie récupérée comprise.

Grâce à une gestion intelligente des flux d’énergie à bord de la voiture, la fonction de récupération de l’énergie libérée au freinage également de série veille à concentrer la production de courant électrique pour le réseau de bord sur les phases de décélération et de freinage. Le moteur est moins sollicité et la production d’énergie électrique est assurée quasiment sans surconsommation. Lors des phases d’accélération, l’alternateur est en règle générale déconnecté, afin d’augmenter la puissance motrice pouvant être transformée en plaisir de conduire typiquement BMW.
Sur la nouvelle BMW Série 5 Berline, le combiné d’instruments est enrichi d’une indication de l’énergie récupérée. Un graphique juxtaposé à l’indication de la consommation instantanée dans la partie inférieure du compte-tours renseigne sur la production de courant lors des phases de décélération et de freinage. Le graphique à flèches bleues entre en action à chaque fois que la fonction de récupération de l’énergie de freinage injecte de l’énergie produite sans surconsommation dans le réseau de bord.

Besoin d’énergie réduit grâce à la direction à assistance électromécanique et à des périphériques à gestion asservie aux besoins.

La gestion de périphériques asservie aux besoins et la mise en œuvre d’une direction à assistance électromécanique contribuent également à affiner la gestion des flux d’énergie à bord de la voiture. Ainsi par exemple, gérée en fonction des besoins, la pompe du liquide de refroidissement absorbe nette-ment moins d’énergie que les systèmes conventionnels tournant constamment à plein régime. La pompe à carburant à pression pilotée, l’équipement des aides à la conduite avec des pompes agissant en fonction des besoins ainsi que la pompe à huile à gestion cartographique mise en œuvre sur les modèles BMW 528i, BMW 523i et BMW 535i sont d’autres éléments favorisant une utilisation particulièrement ciblée de l’énergie.
L’introduction d’un nouveau système de direction sur la BMW Série 5 Berline se traduit également par un gain d’efficacité sensible. En effet, le servomoteur de la direction à assistance électromécanique EPS n’entre en action que lorsqu’une assistance est nécessaire ou souhaitée par le conducteur. Ces mesures réduisent le besoin d’énergie électrique, si bien que l’alternateur doit convertir nettement moins d’énergie primaire en courant électrique. La gestion intelligente permet aussi de réduire les pertes de puissance dont souffrent les compresseurs de climatisation conventionnels. Sur la nouvelle BMW Série 5 Berline, la courroie d’entraînement est dotée d’un embrayage magnétique désaccouplant le compresseur dès que la climatisation a été coupée.
La diminution des pertes par frottement est un objectif systématiquement recherché sur tous les périphériques. Ainsi, une huile de boîte spéciale basse friction associée à une réduction du volume d’huile dans le couple conique permet de réduire les pertes par frottement et par barbotage, la voiture ayant à peine démarré. À l’instar de la nouvelle BMW Série 7, la mise en œuvre d’un couple conique en aluminium raccourcit aussi la mise en température et réduit la sollicitation thermique à vitesse élevée sur la nouvelle BMW Série 5 Berline.
La réduction de la traînée aérodynamique apporte une autre contribution à la baisse de la consommation. À l’exception de la BMW 550i, toutes les va-riantes de la nouvelle BMW Série 5 Berline possèdent des volets d’air pilotés dont l’ouverture et la fermeture sont asservies à la situation de conduite don-née. Il est ainsi possible d’améliorer encore les qualités aérodynamiques de
la voiture, lorsque le besoin en air de refroidissement est faible. S’y ajoute un soubassement particulièrement lisse qui facilite l’écoulement de l’air sous la voiture.

Transmission efficace : boîte mécanique avec graissage à carter sec et boîte automatique à huit rapports.

La nouvelle BMW Série 5 Berline met en œuvre des boîtes mécaniques à six rapports d’une nouvelle génération ainsi qu’une boîte automatique à huit rap-ports disponible en option (de série sur la BMW 550i). Toutes les boîtes de vitesses se distinguent par un rendement encore optimisé, une architecture compacte et un poids réduit. La nouvelle boîte mécanique prévue sur les modèles BMW 535i, BMW 525d et BMW 520d possède de plus un système de graissage à carter sec et des trains de pignons de conception nouvelle. Celle-ci augmente le confort de commande de la boîte tout en réduisant les pertes par résistance à l’intérieur du train de pignons. Les pertes par barbotage rencontrées lors de la répartition de quantités d’huile importantes, sont évitées grâce à une alimentation en huile pilotée.
La boîte automatique à huit rapports répond, elle aussi, aux principes de BMW EfficientDynamics. Elle se distingue par une architecture innovante des trains de pignons, qui permet de réaliser des rapports supplémentaires et une ouverture plus large par rapport à la boîte automatique à six rapports mise en œuvre jusqu’ici, sans impacts négatifs sur les dimensions, le poids et le rendement interne du système. Pouvant se vanter de temps de passage très courts et d’un accès direct au rapport cible au rétrogradage pour assurer l’accélération maximale, elle favorise le dynamisme de la berline. En même temps, le glissement du convertisseur limité au démarrage et toujours minimal, le rendement interne élevé, les faibles pertes par frottement puisque le nombre des embrayages en position ouverte est limité à deux, la démultiplication plus longue des rapports supérieurs et la gestion de boîte qui privilégie la conduite dans la plage des bas régimes se traduisent par un gain de consommation sensible par rapport à la boîte automatique à six rapports. Mais ce n’est pas tout : accouplés à la boîte automatique à huit rapports, les modèles à six cylindres affichent des consommations et des émissions de CO2 iden-tiques, voire même inférieures à celles de leurs homologues à boîte mécanique. Ainsi, la consommation moyenne selon le cycle de conduite européen s’élève à 6,3 litres aux 100 kilomètres sur la nouvelle BMW 530d à boîte mécanique et à 6,2 litres seulement sur la version à boîte automatique à huit rapports.

Consommation en baisse grâce à la construction légère intelligente.

Des matériaux choisis de manière ciblée contribuent aussi sur la nouvelle BMW Série 5 Berline à optimiser le poids. Ceci a un effet positif tant sur l’agi-lité de la voiture que sur sa consommation et ses émissions. L’optimisation du poids s’accompagne pourtant d’une amélioration de la sécurité passive. Elle s’explique surtout par la mise en œuvre ciblée d’aciers multiphasés à très haute résistance, d’aciers à résistance ultrahaute mis en forme à chaud et d’aluminium.
La part élevée d’aciers à très haute résistance et à résistance ultrahaute confère une tenue mécanique maximale à la cellule de sécurité de la nouvelle BMW Série 5 Berline sans demander plus de matériaux. Grâce aux qualités positives des nuances d’acier mises en œuvre, il a été possible augmenter la résistance moyenne de 55 pour cent par rapport à celle de la devancière, alors que le poids est en baisse. Le rapport poids / rigidité torsionnelle par rapport à la surface de contact au sol du véhicule s’est également amélioré de manière notable. De plus, des supports de ressort en aluminium coulé sous pression bénéficient à un double égard au dynamisme de conduite de la nouvelle BMW Série 5 Berline. Ils contribuent en effet à rigidifier le bloc avant, alors que grâce à leur poids réduit, ils exercent une influence positive sur l’équilibre pondéral de la voiture.
Pour la première fois, les portes de la BMW Sé