M5 E60 Berline (2004) - Voiture de série - Fonds d'écran - BMWorld.fr - Le monde des BMW

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Fond d'écran M5 E60 Berline (2004)

M5 E60 Berline (2004)
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M5 E60 Berline (2004)


Le nec plus ultra des berlines sportives porte un nom : M5. Cette représentante de la série 5 est la plus puissante de tous les temps : cinq litres de cylindrée, dix cylindres, 507 ch (373 kW), un couple de 520 Nm et des régimes moteur dépassant le cap des 8 000 tours.

Puissance sans ostentation - un principe prisé depuis 20 ans
La M5 quatrième génération se hisse une fois de plus en référence dans le segment des berlines de sport, une catégorie automobile instaurée en 1984 par la toute première M5. Depuis les M5 ont toujours su s'imposer. Leur secret : une synthèse parfaite entre confort, élégance et facilité de conduite.
Sous une robe révélant de manière très discrète sa nature sportive, la puissance du dix cylindres à haut régime associée à la boîte SMG à sept rapports fait découvrir au conducteur une légèreté inédite. Dans son segment de grand prestige, la M5 présente le meilleur rapport poids/puissance et une extraordinaire maniabilité. Une berline de tous les jours animée par un coeur d'athlète !

Le premier V10 à haut régime animant une berline de série
Actuellement, le V10 de la M5 est le seul moteur à haut régime équipant une berline de série.
Une automobile M se définit aussi et par son dynamisme. Celui-ci dépend de la force propulsive effectivement produite et du poids de la voiture. Cette
« poussée » disponible résulte du couple moteur et de la démultiplication totale. Le concept du haut régime permet de réaliser une démultiplication optimale des rapports de boîte et du pont afin de fournir une poussée impressionnante.

Le concept du haut régime
Atteignant 8 250 tr/mn, le V10 atteint une plage de régimes réservée il y a peu de temps encore aux voitures de course. Par rapport au huit cylindres équipant la M5 précédente, la nouvelle mécanique procure un surplus de puissance de plus de 25 %. La M5 dépasse ainsi le cap magique des 100 ch au litre.

Une motorisation à la pointe de la technologie
Les deux rangées de cinq cylindres du V10 ont été disposées selon un angle de 90 degrés afin d'assurer à l'embiellage un équilibre des masses optimal en termes de vibrations et d'agrément. Pour des raisons de rigidité, en raison des contraintes énormes résultant de la pression de combustion, du régime et des vibrations, les ingénieurs ont adopté - une première pour BMW sur un moteur en V de série - une conception du type « bedplate » pour le carter moteur. Pour assurer un logement optimal du vilebrequin, des inserts en fonte grise sont intégrés à la coulée dans le « bedplate » en aluminium. Ces inserts favorisent aussi le confort acoustique et vibratoire ainsi que le débit d'huile élevé.

VANOS double haute pression et papillons de gaz individuels
Le système de calage variable des arbres à cames, VANOS double, se charge d'assurer un cycle de charge optimal. Il permet de réaliser des réglages ultrarapides. Dans la pratique, cela se traduit par une puissance accrue, une courbe de couple améliorée, une réponse optimale, une consommation réduite et des émissions réduites.

Une ligne d'échappement biflux en acier spécial
La ligne d'échappement est en acier spécial mis en forme sans soudure ; elle est « biflux » jusqu'aux silencieux, les deux tubes débouchant ensuite sur les quatre embouts caractéristiques des modèles M. Les gaz d'échappement répondent aux normes antipollution européenne Euro 4 et américaine LEV 2.

Une gestion moteur unique au monde
Aucune autre gestion moteur ne peut se vanter d'une densité aussi élevée. Ses processeurs sont les plus puissants qui existent à l'heure actuelle dans une automobile ; en effet, cette gestion moteur doit satisfaire à des exigences particulièrement ambitieuses en raison des régimes élevés et du nombre important de calculs à effectuer.

Raffinement de la gestion moteur : la technologie du courant ionique
La technologie du courant ionique - destinée à identifier le cliquetis ainsi que des ratés à l'allumage et durant la combustion - est un raffinement particulier de la gestion électronique. Cette technologie permet de déceler, dans chaque cylindre, tout cliquetis éventuel et de contrôler l'allumage. Le système s'appuie sur les bougies. Ces dernières, en effet, servent d'actuateur - pour l'allumage - et de capteur surveillant la combustion.

Une boîte SMG à sept rapports pour transmettre la puissance sur la route
La boîte SMG à sept rapports est la boîte mécanique idéale pour faire transiter la puissance du V10 par la chaîne cinématique jusqu'aux roues motrices. Le rapport supplémentaire se traduit par des sauts de régime et de couple moins importants. Avec cette boîte, BMW est le premier constructeur au monde à proposer une boîte à commande séquentielle à sept rapports et fonction Drivelogic.

La nouvelle boîte SMG : 20 % de temps en moins...
La boîte SMG à sept rapports se commande soit par le sélecteur sur la console centrale, soit par les palettes au volant. Par rapport à la boîte SMG connue, la nouvelle génération passe les rapports encore plus rapidement, elle fait en effet gagner 20 % de temps de passage. L'avantage pour le conducteur de la M5 : les changements de vitesses sont quasiment insensibles et ultrarapides - aucun conducteur, ne saurait faire mieux.

Drivelogic : c'est le conducteur qui détermine la caractéristique de la boîte SMG
Grâce à la fonction Drivelogic de la boîte SMG, le conducteur dispose d'un total de onze options de commande lui permettant d'adapter les changements de vitesses à son style préféré de conduite. Sur ces onze programmes, six peuvent être présélectionnés dans le mode séquentiel manuel (mode S). En mode S, le conducteur passe toujours les rapports à la main. S'il a activé la fonction
« launch control » («démarrage automatisé»), la fonction Drivelogic de la boîte SMG reprend cependant les commandes et passe les rapports au moment optimal, juste avant que le régime limite ne soit atteint.
Dans le mode automatisé Drive (mode D), la boîte SMG passe les sept rapports sans que le conducteur n'intervienne, en fonction du programme de commande sélectionné, de la situation de conduite donnée, de la vitesse de la voiture et de la position de l'accélérateur.

La boîte SMG, c'est aussi plus de sécurité et de confort
Dans des situations délicates comme un rétrogradage sur chaussée glissante par exemple, la boîte débraie pour éviter que la M5 ne dérape suite à l'arrivée du couple. Parmi les autres fonctionnalités spécifiques, citons « l'assistant de montée » qui permet de démarrer en pente sans que la voiture ne recule, ou
« l'identification montagne » qui déplace les points de changement de vitesse en montée et en descente. En montée, la boîte évite ainsi les multiples changements de vitesses. En descente, « l'identification montagne » garde plutôt le rapport de boîte inférieur pour mieux profiter de l'effet du frein moteur.

Le plaisir au volant à l'état pur
Avant tout, la nouvelle M5 procure un immense plaisir au volant. Pour preuve : dans toutes les disciplines - mesurables ou non -, elle l'emporte sur sa devancière. La nouvelle M5 atteint le 0 à 100 km/h en moins de cinq secondes, et l'aiguille du compteur de vitesse passe le repère des 200 km/h après 15 secondes environ. Ces données se voient toutefois limitées à 250 km/h par le système électronique. La graduation du tachymètre - jusqu'à 330 km/h - laisse entrevoir tout de même jusqu'où la poussée de la M5 pourrait l'entraîner si elle n'était pas bridée...

Mise à l'épreuve sur le Nürburgring
La boucle nord du légendaire Nürburgring est un référentiel pour mesurer le comportement dynamique d'une voiture. Depuis des décennies, c'est sur ce circuit le plus exigeant du monde que se sépare le bon grain de l'ivraie en termes de dynamisme. Réalisant des temps au tour de huit minutes environ, la M5 emboîte le pas aux voitures de sport pures, distançant ainsi toutes ses concurrentes.

Train roulant M : les liaisons au sol de la série 5 personnalisées
Les temps au tour réalisés confirment le comportement extrêmement sportif de la M5 entre les mains d'un pilote. Bien qu'excellent, le train roulant de la série 5 classique ne saurait atteindre des performances dynamiques de ce niveau. C'est pourquoi la M5 adopte aussi des solutions personnalisées dans l'équipement et le tarage de son train roulant.

De nombreux détails métamorphosent la série 5 en M5
Ainsi, les liaisons au sol et ses systèmes d'assistance ont fait l'objet soit d'une conception nouvelle, soit d'une refonte totale. Son train roulant, par exemple, n'est pas une version surbaissée du train roulant de la série 5, mais une conception entièrement à part. Les systèmes d'assistance à la conduite se sont vus, eux aussi, adapter à la M5, même si certains d'entre eux ont gardé leur nom.

Autobloquant M variable.
La M5 est équipée d'un autobloquant variable à capteur de vitesse différentielle. Ce différentiel autobloquant M confère au véhicule une grande stabilité directionnelle et une motricité optimale, surtout en sortie de virage.

En exclusivité sur la M5 : un DSC à deux programmes au choix
Une nouvelle génération du contrôle dynamique de la stabilité (DSC) a été conçue spécialement pour la M5. Une touche intégrée au cache entourant le sélecteur permet de désactiver le système DSC. Ses programmes dynamiques sont présélectionnés grâce à la fonction « MDrive » et peuvent être activés au moyen de la touche MDrive intégrée au volant. Si le premier mode DSC correspond, pour l'essentiel, à celui de la série 5, son deuxième niveau - le mode M Dynamic - sera apprécié surtout par les conducteurs à la fibre sportive.

EDC : réglage ferme, sportif ou confortable
La commande électronique de l'amortissement (EDC) de la M5 permet au conducteur de choisir parmi trois programmes : Confort, Normal et Sport pour faire varier la caractéristique du train roulant. L'EDC est commandée par le conducteur au moyen de la touche MDrive intégrée au volant ou par le bouton-poussoir logé à côté du sélecteur SMG.

Un « bouton de puissance » pour moduler la caractéristique du moteur
Souvent, le conducteur n'a pas besoin de la pleine puissance et de l'agilité maximale de la M5, comme par exemple en circulation urbaine. C'est pourquoi, à chaque démarrage, le programme de puissance P400 privilégiant le confort et faisant appel à une puissance moteur de 400 ch, est activé automatiquement. Il suffit pourtant d'une impulsion sur le bouton dit de puissance, intégré au cache entourant le sélecteur, pour disposer de toute la puissance du dix cylindres. En effet, la cinématique de la pédale d'accélérateur adopte alors une caractéristique empreinte de spontanéité, laissant libre cours au plaisir de conduire sportif en mode P500 ou bien à de véritables sensations en mode P500 Sport.

Des freins hautes performances inspirés de la compétition
La nouvelle M5 reçoit un système de freinage hautes performances généreusement dimensionné avec des freins allégés à disques ajourés de type
« compound ». Optimisés en termes de poids et de rigidité, les étriers flottants en aluminium à deux pistons permettent à la M5 d'atteindre des distances de freinage dignes d'une sportive du plus haut niveau : à partir d'une vitesse de 100 km/h, la distance de freinage est de 36 mètres, à partir de 200 km/h, elle se contente de 140 mètres.

Une polyvalence de style
La série 5 et, plus encore, la nouvelle M5, se devait d'être un objet à la fois vigoureux et sage... En effet, la série 5 affiche déjà une allure tout à fait sportive et élégante. Elle mérite donc à juste titre de représenter la classe affaires dynamique de BMW. La M5, quant à elle, se distingue du modèle classique par une multitude de détails, plus ou moins visibles, qui lui confèrent globalement encore plus de vigueur, de sportivité et de dynamisme.

Une ligne discrète
On remarque tout d'abord les boucliers avant et arrière modifiés par rapport au modèle classique. S'y ajoutent les bas de caisse revus et des passages de roue plus marqués. Par ailleurs, la M5 se distingue traditionnellement d'une BMW
« normale » par le design exclusif de ses rétroviseurs extérieurs, les quatre embouts d'échappement devenus une sorte de label, ainsi que le style exclusif des roues. Pour la première fois, la M5 présente des ouïes latérales, aménagées dans la partie avant du côté de caisse.

Un habitacle sportif
A l'intérieur, la M5 se distingue du modèle de base déjà fort bien nanti par une sellerie cuir encore plus prestigieuse en trois coloris différents ou - en option - par une sellerie tout cuir personnalisable. Le combiné d'instruments, le visuel tête haute disponible en option, adapté, lui aussi, aux spécificités du modèle M, le volant intégrant la touche MDrive ainsi que la console centrale repensée sont autant d'éléments de différenciation majeurs par rapport à la série 5.